Objet : Tremplin de la COLOMBA
Suite à notre courrier (ci-joint) du 26 décembre 2020, au courrier de Mme et M DUCHENE, à la lettre adressée par plusieurs membres de l’association et des propriétaires courant 2020, Madame la Maire a bien voulu nous recevoir (M et Mme DUCHENE, Patrick BEAU et René LE PENNE).Elle nous informe qu’elle a contacté le propriétaire du chalet : Monsieur Maxime VINCE. Celui-ci lui a dit qu’il avait cédé le tremplin.
En ce qui concerne le tas de bois situé à côté du « pied des pistes » et de « l’aiglon » il s’est engagé à l’enlever (ce qu’il a fait dans la journée). Par contre les abords du chalet ne sont toujours pas nettoyés.
Elle a rencontré le nouveau gérant du tremplin, celui-ci a promis de baisser sa musique (c’est son moyen pour attirer le client).
En ce qui concerne le local en acier situé à côté de la « Colomba », il appartient à la SEM de VAL-CENIS. Elle va intervenir auprès du directeur de la sécurité pour l’enlever et le remplacer par un petit chalet bois qui sera positionné derrière celui de la remontée mécanique. Elle lui parlera aussi de la sécurité autour du tremplin.
Nous lui avons parlé de l’aménagement futur de VAL-CENIS. Pour elle et la municipalité il reste des « dents creuses » à boucher (les Maristes, quelques maisons à rénover, des petits terrains à lotir et surtout « la MATHIA »). Les finances de la commune ne sont pas florissantes, donc pas de projets pour l’instant.
En ce qui concerne « la MATHIA » Richard GRAVIER est très intéressé. Nous lui avons dit que les parkings existants, qui datent de la construction des « GENTIANES » et qui ont permis d’obtenir le permis de construire de cet ensemble (en concertation avec le Maire de L’époque) ne devront pas être touchés.
Nous avons signalé que de cet immeuble, l’accès aux pistes se ferait en passant par les terrains privés des « Gentianes » et par l’accès aux garages du « Pied des Pistes ». S’il s’agit d’un petit bâtiment il est possible que nous accordions un passage. Par contre, si une grande résidence est envisagée, nous ferons le nécessaire pour éviter tous désagréments et envisagerons sans doute un recours devant les tribunaux.
C’est pour cela que nous lui avons demandé de nous tenir informé avant tout démarrage d’un projet de construction.
